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        Prière pour les chrétiens et pour le monde
           (Prières pour la Journée Mondiale des Chrétiens d'Orient - 17 mai 2020)
« Notre Père tout puissant, nous Te prions par l’intercession de Jésus-
Christ, de nous combler de Ton amour, et de nous délivrer de toute
offense. Que le Saint-Esprit nous guide pour vivre l’amour, la sincérité et
le sacrifice, avec modestie et sans hypocrisie.
O Père, nous croyons que Tu permets de nous soumettre aux épreuves,
et que tout est au service du bien de ceux qui T’aiment. Délivre-nous de
la peur, de l’inquiétude et de la tristesse, donne-nous la foi, le courage et
la sagesse face aux difficultés.
Dieu, notre Père miséricordieux, Tu es notre Créateur, et notre refuge.
Nous prions pour tous les fidèles dans le monde. Délivre-nous des
guerres et des épidémies, protège la Terre, guéris ceux qui souffrent de
cette pandémie, nous Te prions,et nous nous remettons à toi Seigneur.
O Seigneur Jésus-Christ, Dieu de la miséricorde et source du Bien, aie
pitié de nous, brise les chaînes du péché, et guide nos pas vers ton
Amour pour nous ressourcer, et devenir les disciples de l’Évangile. Bénis-
nous Seigneur pour pouvoir mener une vie spirituelle et terrestre selon
Ton enseignement. Protège nous du désespoir, et donne-nous
l’espérance et le courage pour reconnaître Ton chemin au milieu des
ténèbres et des douleurs.
Seigneur, nous Te demandons par l’intercession de la Sainte Vierge
Marie, de protéger Ton peuple et tous les chrétiens d’Orient, comme nous
te prions pour sauvegarder nos pays du Proche-Orient, berceau du
christianisme et des civilisations. Protège notre deuxième pays, la
France, pour qu’il reste toujours un pays de liberté, d’égalité et de
fraternité.
Seigneur, aie pitié de nos défunts, qu’ils reposent en paix auprès de Toi,
et que toute épreuve et difficulté soit le chemin qui nous mène vers Toi.
Seigneur, bénis-nous, bénis ton peuple.
Gloire à Toi Seigneur, maintenant et pour les siècles des siècles,
Amen.

O très sainte Mère de Dieu
Sous votre protection, O très sainte Mère de Dieu,
les chrétiens des Églises d’Orient ont toujours trouvé refuge.
Rassemblez les Chrétiens d’Orient et d’Occident dans l’amour de votre fils
afin que l’unité des Églises ressemble à celle de la Trinité Sainte
du Père et du Fils et du Saint Esprit.
Donnez-leur le courage dans les épreuves,
la patience dans la persécution,
l’espérance dans les conflits.
O Vous, vraie fille d’Abraham,
faites que les fidèles des trois religions, juive, chrétienne et musulmane,
se traitent fraternellement en fils et filles du même Père.
Qu’ils recherchent la paix en cette terre où parut le Prince de la Paix.
Dans la fidélité à l’Église et à sa mission,
inspirez aux frères d’Occident la gratitude envers leurs frères d’Orient
et à tous la charité qui fait vivre et croire au salut que le Père offre à tous les hommes.
O Vierge, comblée de grâce et de bénédiction, intercédez pour nous.
Amen !

2345

    Martial d'Etampes (1575-1635)
    (Exercice des trois clous)
"La cinquième Parole que l'amour fait sortir de l'ardente fournaise du Cœur de Jésus en croix est : "J'ai soif". Il demande s'il n'y a plus rien à souffrir pour ôter tous les empêchements de l'union entre Lui et nous ; Il a soif de boire tous nos péchés, Il a un désir d'y satisfaire et de les anéantir, pour qu'ils n'apportent plus d'obstacle à l'union dont Il a soif.
Jésus voudrait égaler les souffrances à l'amour de son coeur, pour nous ravir le coeur ; Il nous dit : "J'ai encore soif : si cela ne vous suffit , me voilà prêt de souffrir encore davantage ; j'ai soif de pâtir pour vous attirer, et de compatir avec vous pour vous unir à moi dans les souffrances." 

2289

    Saint Josémaria Escriva (1902-1975)
     (Quand le Christ passe, 178)
"La miséricorde de Dieu 
La joie est un bien chrétien. Elle ne s’estompe qu’avec l’offense à Dieu: car le péché vient de l’égoïsme, et que l’égoïsme cause la tristesse. Ceci dit, même alors la joie demeure enfouie sous les braises de l’âme. En effet, nous savons que Dieu et sa Mère n’oublient jamais les hommes. Si nous nous repentons, s’il jaillit de notre cœur un acte de douleur, si nous nous purifions dans le saint sacrement de la pénitence, Dieu s’avance à notre rencontre et nous pardonne. Alors, il n’y a plus de tristesse: il est tout à fait juste de se réjouir puisque ton frère que voici était mort et il est revenu à la vie; il était perdu et il est retrouvé. Ces propos sont le mot de la merveilleuse fin de la parabole du fils prodigue que nous ne nous lasserons jamais de méditer: voici que le Père s’avance à ta rencontre; il inclinera sa tête sur ton épaule, il te donnera un baiser, gage d’amour et de tendresse; il te fera remettre un vêtement, un anneau et des chaussures. Tu crains encore sa remontrance: il te rend ta dignité; tu crains un châtiment: il te donne un baiser; tu as peur d’un mot de reproche: il prépare un festin à ton intention. L’amour de Dieu est insondable"

2285

    Saint Josémaria Escriva (1902-1975)
     (Quand le Christ passe, 128)
"Pour grandes que soient nos limitations, nous pouvons regarder le ciel avec confiance et nous sentir pleins de joie : Dieu nous aime et nous délivre de nos péchés. La présence et l’action du Saint-Esprit dans l'Église sont le gage et l’anticipation du bonheur éternel, de la joie et de la paix que Dieu nous réserve."

2272

    Marthe Robin
     (Journal - 4 avril 1930
« Une communion sans préparation et sans action de grâces, faites l’une et l’autre dans le recueillement de l’oraison, est de bien peu d’utilité pour l’âme... « Méditez souvent sur vos fins dernières, dit l’Esprit Saint, et vous ne tomberez jamais dans le péché. » Et cet autre : « Souvenez-vous, dans toutes vos actions, de votre fin dernière. » 

2261

    Gustave Thibon
(L'ignorance étoilée)
"Le grand prisonnier, c'est Dieu. Il faut descendre, par la prière, dans les oubliettes de notre âme, où nos passions terrestres et notre indifférence à l'éternel l'ont emmuré, pour le retrouver et le consoler. Quelles épaisseurs de murailles sourdes avons-nous construites pour étouffer la voix du captif ! Et, du même coup, c'est le meilleur de nous-mêmes que nous avons enterré dans le silence et dans la nuit." 

2251

    Saint Pio de Pietrelcina (1887-1968) 
    (Padre Pio)
"Aime Jésus ! Sois sans crainte ! Même si tu avais commis tous les péchés du monde, Jésus te répète ces paroles : Beaucoup de péchés te sont pardonnés parce que tu as beaucoup aimé."

2241

    Saint François de Sales (1567-1622)
(Introduction à la vie dévote)
"Le péché n'est honteux que quand nous le faisons, mais étant converti en confession et pénitence, il est honorable et salutaire. La contrition et confession sont si belles et de si bonne odeur, qu'elles effacent la laideur et dissipent la puanteur du péché. Si nous sommes bien humbles, notre péché nous déplaira infiniment parce que Dieu en est offensé, mais l'accusation de notre péché nous sera douce et agréable, parce que Dieu en est honoré : ce nous est une sorte d'allègement de bien dire au médecin le mal qui nous tourmente."

2240

    Saint Augustin (354-430)
(sur la première épître de saint Jean)
"Les baptisés de Pâques sont sortis hommes nouveaux de la fontaine baptismale. Mais depuis que tous nos péchés ont été pardonnés et supprimés, nous avons vécu dans le monde au milieu des tentations, et sans doute, avons-nous commis de nouvelles fautes. Que l'homme avoue donc son état présent, afin d'être guéri par Celui qui reste ce qu'Il a toujours été.
En effet, tant que dure son existence mortelle, il est impossible à l'homme de se préserver complètement de fautes au moins légères. Ces fautes, que nous appelons légères, ne les regarde pas comme négligeables : beaucoup de petites font une grande ! Ce sont des gouttes d'eau nombreuses qui remplissent le lit d'un fleuve et les tas de blé se composent d'une multitude de grains. Où donc placer notre espérance ? D'abord, dans l'aveu de nos iniquités : que personne ne se croie juste, que personne ne lève la tête en présence du Dieu qui voit ce que nous sommes." 

2215

    Saint Grégoire de Naziance (v325-390)
   (Premier discours sur Pâques) 
"Il a reçu ce qui vient d'en bas pour donner ce qui vient d'en haut : Il s'est fait pauvre pour que nous devenions riches dans sa pauvreté ; Il a reçu la forme d'un esclave pour que nous recevions la liberté ; Il est descendu pour que nous soyons élevés ; Il a connu la tentation pour que nous en soyons glorifiés ; Il est mort pour que nous soyons sauvés ; Il s'est élevé pour nous entraîner à sa suite, nous qui étions à terre du fait de la chute dans le péché."  

2203

    Marthe Robin
   (Journal - 4 avril 1930 - cité dans "prier 15 jours avec Marthe Robin, Ed nouvelle cité, page 44)
« Que vaut-il mieux faire : l’oraison ou la sainte communion ? », elle répondait : « Les deux sont vivement à conseiller. Mais s’il faut porter une préférence, je crois que je répondrais l’oraison, car l’oraison est une disposition et une préparation immédiate à la sainte communion. La communion fréquente est un conseil, l’oraison est un divin précepte : “Priez, priez sans cesse”, dit Jésus. Or il est difficile de bien prier et de prier sans cesse si le cœur ne se remplit pas de bonnes, de saintes pensées, fruits de la méditation… Quelqu’un a dit : on trouve des chrétiens qui communient tous les jours et qui sont en état de péché mortel. Mais on ne trouve jamais une âme qui fasse « oraison » tous les jours et qui demeure dans le péché » 

2147 

    Pape François
      (Homélie du 10 mars 2020 à Sainte-Marthe - «N’ayez pas peur». «Si vos péchés sont comme l’écarlate, ils deviendront aussi blancs que neige» (Is 1,18)
Hier la Parole de Dieu nous enseignait à reconnaître nos péchés et à les confesser, pas seulement avec notre esprit, mais aussi avec notre coeur, avec un esprit de honte ; la honte comme une attitude plus noble devant Dieu, à cause de nos péchés.
Et aujourd’hui, le Seigneur nous appelle tous, pécheurs, à dialoguer avec lui, parce que le péché nous enferme sur nous-mêmes, nous fait cacher notre vérité en nous. C’est ce qui est arrivé à Adam, à Ève : après le péché, ils se sont cachés, parce qu’ils avaient honte ; ils étaient nus. Et quand il éprouve de la honte, le pécheur a ensuite la tentation de se cacher.
Et le Seigneur appelle : « Allez, venez, discutons, dit le Seigneur, parlons de ton péché, parlons de ta situation. N’ayez pas peur. Non… » Et il poursuit : « Si vos péchés sont comme l’écarlate, ils deviendront aussi blancs que neige. S’ils sont rouges comme le vermillon, ils deviendront comme la laine ». « Venez, parce que je suis capable de tout changer, nous dit le Seigneur, n’ayez pas peur de venir parler, soyez courageux, même avec vos misères ».
Il me vient à l’esprit ce saint qui était si pénitent, il priait tellement. Et il cherchait toujours à donner au Seigneur tout ce que le Seigneur lui demandait. Mais le Seigneur n’était pas content. Et un jour, oui, il était comme en colère contre le Seigneur, parce qu’il avait du caractère, ce saint. Et il dit au Seigneur : « Mais Seigneur, je ne te comprends pas, je te donne tout, tout, et toi, tu es toujours comme insatisfait, comme s’il manquait quelque chose. Que manque-t-il ? » [Et le Seigneur répond] : « Donne-moi tes péchés : c’est cela qui manque ». Avoir le courage d’aller parler avec le Seigneur, avec nos misères : « Allez, venez ! Discutons ! N’ayez pas peur ! Si vos péchés sont comme l’écarlate, ils deviendront blancs comme neige. S’ils sont rouges comme le vermillon, ils deviendront comme la laine ».
C’est l’invitation du Seigneur. Mais il y a toujours une ruse : au lieu d’aller parler avec le Seigneur, faire semblant de ne pas être pécheur. C’est ce que le Seigneur reproche aux docteurs de la loi. Ces personnes font les œuvres « pour être remarqués des gens : ils élargissent leur phylactères et rallongent leurs franges ; ils aiment les places d’honneur dans les dîners, les sièges d’honneur dans les synagogues et les salutations sur les places publiques ; ils aiment recevoir des gens le titre de Rabbi ».
L’apparence, la vanité. Couvrir la vérité de notre coeur par la vanité. La vanité ne guérit jamais ! La vanité ne guérit jamais. Et même, elle est vénéneuse, elle avance en te donnant la maladie du coeur, en t’apportant cette dureté du coeur qui te dit : « Non, ne vas pas vers le Seigneur, n’y va pas. Reste ».
La vanité est précisément le lieu où se fermer à l’appel du Seigneur. Au contraire l’invitation du Seigneur est celle d’un père, d’un frère : « Venez ! Parlons, parlons. À la fin, je suis capable de changer ta vie du rouge au blanc ».
Que cette Parole du Seigneur nous encourage ; que notre prière soit une prière réelle. De notre réalité, de nos péchés, de nos misères. Parler avec le Seigneur. Lui, il sait, il sait ce que nous sommes. Nous, nous le savons, mais la vanité nous invite toujours à couvrir. Que le Seigneur nous aide ! 
Pape François, 10 mars 2020

2125

  Marthe Robin (1902-1981)
(Journal - conseils pour avancer dans la voie de la perfection)
17. Aucune occupation, aucun prétexte ne doit nous faire négliger l’examen de conscience ; pour chaque faute nous devons faire acte de réparation. « Cette résolution a l’avantage de raffermir notre volonté de ne plus pécher. »  

2118

  Saint Ambroise (340-397)
( De la pénitence)
 "Tu ne voudrais pas implorer Dieu de te pardonner, ni obtenir que le peuple saint intervienne pour appuyer ta requête ? Ici pourtant, il n'y a rien dont il faille avoir honte, sinon de ne point faire d'aveu, puisque tous, nous sommes pécheurs. Ici, le plus digne d'éloges est le plus humble ; le plus juste est celui qui a pour lui-même le plus de mépris. Que pleure pour toi l'Église notre mère, et qu'elle lave ta faute avec ses armes ! Que rien donc ne te détourne de la pénitence ! Elle t'est commune avec les saints : puisse-tu imiter la façon de pleurer qui fut la leur ! " 

2107

    Henry Chapman (1865-1933)
(Lettre du 28 février 1929)
"Ne pensez pas que la bonne manière de supporter une épreuve soit d'aimer Dieu au point de pouvoir supporter l'épreuve avec joie, sinon elle cesserait d'être une épreuve. Au contraire, il est clair que l'essence de toute souffrance est d'en souffrir ! Aucun sentiment de lâcheté n'est de la lâcheté. C'est le fait de s'y abandonner qui est la lâcheté."
Prénommé Henry, Chapman est le fils d'un canoniste anglican de la cathédrale d'Ely. Converti au catholicisme, il prend le prénom John et devient prêtre, écrivain et théologien. Il est abbé de l'abbaye de Downside de 1929 à la mort, fondateur de la Worth School.

2078

      Marthe Robin (1902-1981)
     ( Journal - 12 février 1930 
« J’ai péché contre vous, ô mon Dieu, et tout péché, pour être pardonné, demande expiation ! Doux Seigneur, ne me regardez pas avec toute votre colère, je me jette dans vos bras, je me livre à vous... je veux réparer. »
Marthe Robin (1902-1981) 

2067

      Saint Jean d'Avila (1499-1569)
       (Sermon 29)
Mais pourquoi notre volonté propre penche-t'elle du mauvais côté ? parce que "Dès que l'homme eut péché, dès qu'il eut enfreint le commandement de Dieu, son entendement devint aveugle et sa volonté devint hésitante, cette volonté que Dieu avait donnée à l'homme pour n'aimer que Lui et Lui consacrer tout ce qu'il aime." 
Saint Jean d'Avila (1499-1569) 

1991

      Fènelon
            (Lettres spirituelles- Tome, II page 133 - Op Tome XI, page 76)
" Je ne m'étonne point de ce que Dieu permet que vous fassiez des fautes, dans le temps même de ferveur et du recueillement où vous voudriez le moins en faire. La Providence, qui permet ces fautes, est une des grâces que Dieu vous fait en ce temps-là : car Dieu ne permet ces fautes que pour vous faire sentir votre impuissance de vous corriger par vous-mêmes...
Profitez de vos fautes, et elles serviront plus, en vous rabaissant à vos propres yeux, que vos bonnes œuvres en vous consolant.
Les fautes sont toujours fautes ; mais elles mettent dans un état de confusion et de retour à Dieu qui nous fait un grand bien... Dieu permet qu'on trouve la boue au fond de son coeur."

1917

      Benoît XVI
     (Homélie de Benoît XVI pour le Mercredi des Cendres 13 février 2013)

« Le voici maintenant le moment favorable, le voici maintenant le jour du salut » (2 Co 6,2) : ces paroles de l’apôtre Paul aux chrétiens de Corinthe résonnent aussi pour nous avec une urgence qui n’admet ni absence ni inertie. Le terme « maintenant » répété à plusieurs reprises dit qu’on ne peut pas laisser passer ce moment ; il nous est offert comme une occasion unique qui ne se représentera pas. Et le regard de l’apôtre se concentre sur la dimension de partage dont le Christ a voulu caractériser son existence, en assumant tout ce qui est humain jusqu’à se charger du péché des hommes. L’expression de saint Paul est très forte : Dieu « l’a fait péché pour nous ». Jésus, l’Innocent, le Saint, « Celui qui n’avait pas connu le péché » (2 Co 5,21), se charge du poids du péché dont il partage l’issue avec l’humanité, qui est la mort et la mort sur la croix."

1911

      Saint Jean-Marie Vianney
(Curé d'Ars )
« Je sais que nous sommes faibles, que nous pouvons tomber dans le péché. Cependant c’est notre faute, parce que le Bon Dieu ne nous refuse pas sa grâce. Mais rester dans le péché après l’avoir commis, ayant tous les moyens d’en sortir, est une chose que je n’ai jamais pu comprendre. »


Jésus disait à ses disciples : "Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai Aimés." (Jn 15, 12)