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        pape François
           (Message pour la Journée Mondiale des Missions 2020 (18 octobre)

« La mission, "l'Église en sortie", ne constituent pas un programme à réaliser, une intention à concrétiser par un effort de volonté. C'est le Christ qui fait sortir l'Église d'elle-même. Dans la mission d'annoncer l'Évangile, vous vous mettez en mouvement parce que l'Esprit Saint vous pousse et vous porte » (Sans Jésus nous ne pouvons rien faire, LEV-Bayard, 2020, p. 23). Dieu nous aime toujours le premier et avec cet amour, il nous rencontre et nous appelle. Notre vocation personnelle provient du fait que nous sommes tous fils et filles de Dieu dans l’Eglise, sa famille, frères et sœurs dans cette charité que Jésus nous a témoignée. Tous, cependant, ont une dignité humaine fondée sur l’appel divin à être enfants de Dieu, à devenir, par le sacrement du baptême et dans la liberté de la foi, ce qu’ils sont depuis toujours dans le cœur de Dieu. 

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        saint Jean François Régis (1597-1640)
           (par le père Sintas - cité dans une homélie du père Roger Hébert le 16 mai 2020)
St François Régis avait le grand désir de partir au Canada, il en fait part à son supérieur qui refuse en lui disant : « Votre Canada, ça sera le Vivarais ! » Un peu déconcertant comme réponse quand on est habité par un si grand projet ! Mais voilà ce que le père Sintas écrivait pour expliquer cette réponse : 
« Le 1° élément à remarquer dans cet événement, c’est combien les choses sont claires dans l’esprit de François. Il a fait sa proposition avec détermination. Il l’a faite avec d’autant plus d’énergie que, pour lui, cette proposition lui paraît être le meilleur moyen de remplir sa vocation. Mais elle n’est qu’un moyen. Sa préoccupation essentielle n’est pas dans le désir de partir au Canada. Sa préoccupation essentielle demeure bien celle qui l’a fait entrer au noviciat, à savoir : Servir Dieu, Notre Seigneur dans l’Église, sous la conduite de la compagnie. 
Voilà où François situe tout le poids de sa vie, tout l’objectif de son désir. Il a intégré à son existence la 1° phrase des Exercices Spirituels de St Ignace, le fondement de toute la vie spirituelle : n’avoir d’autre désir que de servir Dieu, Notre Seigneur. Peu à peu, c’est cela qui est devenu toute sa vie. Tout le reste a trouvé, sous l’éclairage de cette lumière, sa position juste de moyen au service de l’unique fin. Certes sans le moyen, la fin ne serait pas atteinte. Mais le choix des moyens n’a plus l’importance primordiale qu’il peut avoir dans des existences moins lucides sur la fin unique, seule nécessaire. La réponse négative du supérieur ne peut plus atteindre François de façon grave. Ayant clarifié son désir, l’ayant purifié et approfondi, il ne se laisse plus démolir par un refus qui ne vise pas son choix fondamental. Sa vocation demeure intacte, pleinement accueillie par le supérieur, en cette heure même où il refuse à François le moyen qu’il propose pour la mettre en œuvre. Même si sa sensibilité en souffre. Il ne fait pas du choix des moyens une question de vie ou de mort. »
Voilà donc comment on acquiert la vraie liberté. Car nous qui ne sommes plus des ados, nous savons que la vraie liberté ça ne sera jamais de faire ce qu’on veut, comme on veut, quand on veut ! Pour trouver la vraie liberté, il nous faut apprendre à ne pas confondre la fin et les moyens comme dit le père Sintas.  
Saint Jean-François Régis (1597-1640)

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        Anonyme
       (sur l'Ascension)
L’Ascension nous apprend d’abord à ne pas mettre la main sur Jésus. Le Christ échappe aux disciples, il échappe aussi à nos mainmises possessives et égoïstes. S’il esquive ainsi nos griffes, c’est pour nous obliger à croire en sa nouvelle manière d’être présent. L’Ascension nous découvre le sens profond de l’Eucharistie. Jésus n’a plus à être à nos côtés puisqu’il veut être en nous. Il n’a plus à être notre compagnon de route, puisqu’il est notre force pour marcher. Il n’a plus à être un copain que l’on peut embrasser et toucher, puisqu’il devient notre vie. Il n’a plus à être vu puisqu’il devient notre regard. Il n’a plus à être notre ami puisqu’il est devenu notre force d’aimer. Il n’a plus à être notre interlocuteur, puisqu’il est devenu notre parole, plus intime à nous-mêmes que nous-mêmes. Jésus monté aux cieux, nous plante solidement en terre. Nous sommes, désormais, son unique présence auprès de nos frères. Louis Evely disait : “Dieu nous laisse entre hommes. Pas moyen de le rencontrer autrement que par l’homme. Dieu est intérieur à l’homme et ne peut se manifester que par chacun d’entre nous. L’homme est donc seul responsable du silence ou de l’absence apparente de Dieu.”  Accueillons la joyeuse mission qui nous est donnée. « Allez dans le monde entier. Proclamez la Bonne Nouvelle à toute la création... ».L’Ascension du Seigneur est l’achèvement de son Incarnation. Saint Athanase, rappelait avec force que « Dieu s’est fait homme pour que l’homme devienne Dieu.» Par la venue du Fils de Dieu dans le monde, c’est tout le cosmos, tout le monde des vivants et tout le peuple des humains qui sont épousés par Dieu. En rentrant dans le sein du Père, mais avec tout son poids de chair et d’humanité, Jésus nous divinise. Il nous fait partager l’amour de Dieu. Le pape saint Léon écrit cette phrase lumineuse : « L’Ascension du Christ est notre promotion. » Dans ce grand corps que forme le Christ total, la tête est déjà dans les cieux. Les membres bénéficient déjà de ce bonheur divin dans laquelle elle baigne. C’est la fête de l’espérance. Car là où la tête est passée, là aussi le corps tout entier passera.
L'Ascension du Seigneur - Giotto di Bondone (1266 ou 1267 - 1337 à Florence (Italie) 

1971

      Saint Jean-Paul II
(Lourdes - 15 août 2004)

"La mission des femmes est d’être dans la société actuelle témoin des valeurs essentielles qui ne peuvent se percevoir qu'avec les yeux du coeur."

1780

     pape François 
(Angélus du 14 décembre 2014)
La maison de la joie
Le coeur de l'homme désire la joie. Nous désirons tous la joie : chaque famille, chaque peuple aspire au bonheur. Mais quelle est cette joie que le chrétien est appelé à vivre et à témoigner ! C'est celle qui vient de la proximité de Dieu, de sa Présence dans notre vie. Depuis que Jésus est entré dans l'histoire, en naissant à Bethléem, l'humanité a reçu le germe du royaume de Dieu, comme un terrain reçoit la semence, la promesse d'une récolte à venir. Il n'est plus nécessaire de chercher toujours. Il ne s'agit pas d'une joie seulement espérée ou reportée au paradis : ici, sur terre, nous sommes tristes, mais au paradis nous serons joyeux. Non ! Ce n'est pas cette joie-là. Cette joie est bien réelle et l'on peut en faire l'expérience dès à présent, parce que Jésus Lui-même est notre joie, et avec Jésus la joie est là. Comme le dit votre écriteau : "Avec Jésus, la joie est là," Encore une fois :"Avec Jésus, la joie est là." Et sans Jésus, y-a-t'il de la joie ? Non  ! Il est Vivant, Il est le Ressuscité, et Il agit en nous et parmi nous par la Parole et les Sacrements. Nous tous, baptisés, enfants de l'Église, nous sommes appelés à accueillir une fois encore la présence de Dieu parmi nous et à aider les autres à la découvrir, ou à la redécouvrir pour ceux qui l'auraient perdue. C'est une très belle mission, semblable à celle de Jean-Baptiste : orienter tout un chacun vers le Christ -pas vers soi-même !- parce que c'est vers Lui que tend le coeur de tout homme qui recherche la joie et le bonheur."

1557

   Pape François 
(13 mai 2017 - pour le centenaire des apparitions à Fatima)

"Le Seigneur nous précède toujours : quand nous passons par quelque croix, il y est déjà passé. Dans sa Passion, il a pris sur lui toutes nos souffrances. Jésus sait ce que signifie la souffrance, il nous comprend, il nous console, et il nous donne la force. (...)Voilà le mystère de l’Eglise : l’Eglise demande au Seigneur de consoler les affligés et il vous console, même de manière cachée ; il vous console dans l’intimité du cœur et il vous console par sa force.
(...) Chers malades, vivez votre existence comme un don et dites à la Vierge, comme les pastoureaux, que vous voulez vous offrir à Dieu de tout votre cœur. Ne vous considérez pas seulement comme des bénéficiaires de la solidarité caritative, mais sentez-vous pleinement participants de la vie et de la mission de l’Eglise. 
Votre présence silencieuse mais plus éloquente que beaucoup de paroles, votre prière, l’offrande quotidienne de vos souffrances unies à celles de Jésus crucifié pour le salut du monde, l’acceptation patiente et même joyeuse de votre condition sont une ressource spirituelle, un patrimoine pour chaque communauté chrétienne. N’ayez pas honte d’être un trésor précieux de l’Eglise."

1556

   Pape François 
Tweet du 25 juillet 2019
"Jésus cherche des témoins qui lui disent chaque jour : "Seigneur, Tu es ma vie".
Le pape citait une phrase de son homélie prononcée le 29 juin dernier, le jour de la fête des saints apôtres Pierre et Paul. Ces apôtres, a-t-il rappelé, « sont devant nous comme témoins » : « Ils ne se sont jamais fatigués d’annoncer, de vivre en mission, en chemin … ils ont témoigné jusqu’à la fin, en donnant leur vie comme martyrs. »

Le pape a invité les fidèles à faire un examen de conscience : « Devant ces témoins, a-t-il dit, demandons-nous : “Est-ce que je renouvelle tous les jours la rencontre avec Jésus ?”. Peut-être sommes-nous des curieux de Jésus, nous nous intéressons aux choses de l’Église ou aux nouvelles religieuses. Nous ouvrons des sites et des journaux et nous parlons des choses sacrées….Ça n’a pas d’importance pour Jésus. Il ne veut pas des "reporters de l’Esprit", encore moins des "chrétiens de couverture". »
« Demandons la grâce, a poursuivi le pape François, de ne pas être des chrétiens tièdes, qui vivent de demi-mesures, qui laissent refroidir l’amour. Retrouvons dans le rapport quotidien avec Jésus et dans la force de son pardon nos racines.
Jésus, comme à Pierre, te demande aussi :
“Qui suis-je pour toi ?”; “m’aimes-tu ?”.
Laissons ces paroles entrer en nous et allumer le désir de ne pas nous contenter du minimum, mais de viser plus haut, pour être nous aussi des témoins vivants de Jésus. »

pape François - Audience Générale du 12 mai 2019

1548

     Marthe Robin 
(prière pour la France)
« Ô Père, ô mon Dieu, délivrez, sauvez maintenant votre France ; préparez le cœur de ses enfants à la mission qu’ils vont avoir à accomplir pour elle, pour toutes les autres nations, pour l’Église tout entière. Ô Père, ô mon Dieu, que le cœur de tous vos élus tressaille […] à votre appel, recon­naissant votre voix et votre commandement, votre invitation à agir ; conduisez-les, […] et imposez-leur vous-même tout ce que vous voulez de chacun et de tous. Que rien ne soit l’effet de leur choix, mais de votre unique désir, de votre unique volonté d’amour. »

1543

     Marthe Robin
(le 23 mai 1932)

" Oh Doux bonheur, bonheur infini ! Je vais enfin pouvoir réaliser mon plus cher désir : mon désir d'aimer et de faire aimer l'Amour ! Je ais pouvoir aimer et faire aimer Dieu comme je l'aime, puisque ma mission est de montrer au monde que Dieu nous a aimés jusqu'à la folie, jusqu'au martyre et dans l'immolation la plus complète, en complétant en moi sa Passion rédemptrice pour son corps qui est l'Eglise."

1500

   Cardinal Marc Ouellet
    (5 juin 2019 - 75ème anniversaire de la libération)


"La mission des chrétiens est d’apporter leur notion de Dieu dans le combat pour l’homme, au niveau du dialogue interreligieux devenu inséparable de la promotion de la fraternité humaine. Plus la mondialisation provoque une cohabitation obligée entre citoyens et citoyennes de diverses appartenances religieuses, plus le dialogue de la vie quotidienne fera émerger la notion de Dieu qui habite chaque communauté dans les rapports concrets entre les personnes et les groupes culturels. "

1396

   pape François 

(Homélie lors de la Messe de canonisation de Francisco et Jacinta Marto le 13 mai 2017)

« Fatima est surtout ce manteau de lumière qui nous couvre ici comme partout ailleurs sur la terre quand nous nous réfugions sous la protection de la Vierge Marie pour lui demander comme l'enseigne le Salve Regina, "montre-nous Jésus.(...)
Sous la protection de Marie, nous sommes, dans le monde, des sentinelles du matin qui savent contempler le vrai visage de Jésus Sauveur, celui qui brille à Pâques, et redécouvrir le visage jeune et beau de l’Eglise, qui resplendit quand elle est missionnaire, accueillante, libre, fidèle, pauvre en moyens et riche d’amour.»


1390

   Saint Vincent de Paul 

À l'école de Saint Vincent
« Toute notre vie s'emploie à exercer des actes de Charité, ou à l'égard de Dieu, ou du prochain. Et pour l'un et pour l'autre, il faut aller si simplement, en sorte que, si ce sont des choses que nous ayons à faire, qui regardent Dieu et qui dépendent de nous, il faut fuir les finesses, car Dieu ne se plaît et ne communique ses grâces qu'aux âmes simples. Que si nous regardons notre prochain, comme nous devons l'assister corporellement et spirituellement, Bon Dieu ! Qu'il fait se donner de garde de paraître cauteleux, adroit, rusé, et surtout ne jamais dire une parole à double entente ! Ah ! Que cela doit être éloigné d'un missionnaire ! »

1386

 saint Vincent de Paul

( sur son lit de mort :)
« Si j’ai pu faire tout cela, rien que cela, c’est que vous m’en avez donné, Seigneur, l’idée, la force et les moyens. Ma mission est remplie.
Je viens à Vous. »

1229

Paul VI - Concile vatican II

(Lumen Gentium - chap. VIII - 65 - 1964)

"L'Église, en songeant pieusement à Marie et en la contemplant dans la lumière du Verbe fait homme, pénètre plus avant, pleine de respect, dans les profondeurs du Mystère de l'Incarnation, et se conforme toujours davantage à son Époux. Marie, en effet, qui, par son étroite participation à l'histoire du salut, unit en elle et reflète pour ainsi dire les données les plus élevées de la foi, amène les croyants, quand elle est l'objet de la prédication et du culte, à considérer son Fils, le sacrifice qu'il a offert, et aussi l'amour du Père. (...) l'Église, en son travail apostolique également, regarde-t-elle avec raison vers celle qui engendra le Christ, conçu donc de l'Esprit-Saint et né de la Vierge, afin qu'Il naisse et grandisse également dans le cœur des fidèles par le moyen de l'Église. La Vierge fut dans sa vie un modèle de cet amour maternel dont doivent être animés tous ceux qui, associés à la mission apostolique de l'Église, coopèrent à la régénération des hommes."

1159

pape François
"Carême pour tous - Hors série n°21 Ma Prière - 2019-année C"

"Mais en aucun cas, je n'accorde du prix à ma vie, pourvu que j'achève ma course et le ministère que j'ai reçu du Seigneur Jésus : rendre témoignage à l'Evangile de la grâce de Dieu (Ac 20, 24)

"Et ainsi Jésus nous enseigne que la conversion, la transformation du coeur et la réforme de l'Eglise sont et seront toujours d'un point de vue missionnaire, car cela présuppose que l'on cesse de voir et de rechercher ses propres intérêts pour regarder et rechercher les intérêts du Père. La conversion de nos péchés, de nos égoïsmes n'est pas et ne sera jamais une fin en soi, mais vise principalement à faire grandir dans la fidélité et dans la disponibilité pour embrasser la mission."


1055

Pape François 

Gaudete et exsultate (paragraphe 162)

« Une lutte constante »
La Parole de Dieu nous invite clairement à « résister aux manœuvres du diable » (Ep 6, 11) et à éteindre « tous les traits enflammés du Mauvais » (Ep 6, 16). Ce ne sont pas des paroles romantiques, car notre chemin vers la sainteté est aussi une lutte constante. (…) Nous avons pour le combat les armes puissantes que le Seigneur nous donne : la foi qui s’exprime dans la prière, la méditation de la parole de Dieu, la célébration de la Messe, l’adoration eucharistique, la réconciliation sacramentelle, les œuvres de charité, la vie communautaire et l’engagement missionnaire. » 

955

pape François
Extrait du message pour la journée missionnaire mondiale : dimanche 21 octobre 2018
"Grâce à la foi, j’ai trouvé le fondement de mes rêves et la force de les réaliser. J’ai vu beaucoup de souffrance, beaucoup de pauvreté défigurer les visages de tant de frères et sœurs. Pourtant, pour celui qui vit avec Jésus, le mal est une provocation à aimer toujours plus. Beaucoup d’hommes et de femmes, beaucoup de jeunes se sont généreusement donnés eux-mêmes, parfois jusqu’au martyre, par amour de l’Evangile, au service de leurs frères. 
De la croix de Jésus, découvrons la logique divine de l’offrande de nous-mêmes (cf. 1 Co 1, 17-25) comme annonce de l’Evangile pour la vie du monde (cf. Jn 3, 16). 
Etre enflammés de l’amour du Christ consume celui qui brûle et fait grandir, illumine et réchauffe celui qu’on aime (cf. 2 Co 5, 14). 

954

pape François
Extrait du message du pape François pour la journée mondiale des Missions,  (dimanche 21 octobre 2018)
Chaque homme et chaque femme est une mission, et c’est la raison pour laquelle on vit sur la terre. Etre attirés et être envoyés sont les deux mouvements que notre cœur, surtout quand on est jeune, sent comme des forces intérieures de l’amour qui promettent un avenir et poussent notre existence en avant. Personne autant que les jeunes ne sent combien la vie fait irruption et attire. Vivre avec joie sa propre responsabilité pour le monde est un grand défi. Je connais bien les lumières et les ombres propres au fait d’être jeunes, et si je pense à ma jeunesse et à ma famille, je me rappelle l’intensité de l’espérance pour un avenir meilleur. Le fait de ne pas nous trouver en ce monde par notre décision, nous laisse entrevoir qu’il y a une initiative qui nous précède et nous donne d’exister. Chacun de nous est appelé à réfléchir sur cette réalité : 
« Je suis une mission sur cette terre, et pour cela je suis dans ce monde » 

Jésus disait à ses disciples : "Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai Aimés." (Jn 15, 12)