Affichage des articles dont le libellé est Fidélité. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Fidélité. Afficher tous les articles

2467

        Ste Teresa de Calcutta
           (du livre "La prière, fraîcheur d'une Source")
« S'il est une chose que Jésus me demande, c'est de m'appuyer sur Lui, de me confier en Lui seul, de m'abandonner à Lui sans réserve... Nous ne devons pas essayer de contrôler les actions de Dieu. Nous ne devons pas compter des étapes du voyage qu'il veut nous faire entreprendre. Même si je me sens comme un bateau à la dérive, à moi de me donner entièrement à Lui.
Si quelque chose te paraît difficile, souviens-toi que nous ne sommes pas appelés à réussir, mais à être fidèles.
La fidélité est importante, même dans les petites choses, non pas pour la chose elle-même, ce qui serait le souci d'un esprit mesquin, mais pour la grande chose qu'est la Volonté de Dieu. Saint Augustin a dit : « Les petites choses restent petites, mais être fidèle dans les petites choses est une grande chose. Notre Seigneur n'est-il pas le même dans un pauvre visiteur que dans un grand ? » (cf Mt 25, 40 : « Amen, je vous le dis : chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait »). Amen. » 


2439 

        pape François
       (Extrait de son homélie du 2 mai 2020 en la chapelle sainte Marthe)
« Un moment de crise est un moment de choix, c'est un moment qui nous met devant les décisions que nous devons prendre : nous avons tous eu et aurons des moments de crise dans la vie. Crises familiales, crises matrimoniales, crises sociales, crises du travail, nombreuses crises... Cette pandémie est aussi un moment de crise sociale.
Comment réagir dans ce moment de crise? «À partir de ce moment, beaucoup de ses disciples s’en retournèrent et cessèrent de l’accompagner». Jésus prend la décision d'interroger les apôtres. «Alors Jésus dit aux Douze: “Voulez-vous partir, vous aussi ? Prenez une décision”». Et Pierre fait sa deuxième confession: «Simon-Pierre lui répondit: “Seigneur, à qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle.
Quant à nous, nous croyons, et nous savons que tu es le Saint de Dieu”». Pierre a confessé, au nom des Douze, que Jésus est le Saint de Dieu, le Fils de Dieu. La première confession: «Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant», et immédiatement après, lorsque Jésus a commencé à expliquer Sa Passion à venir, il l'a arrêté: «Non, non, Seigneur, pas ça !», et Jésus lui a fait des reproches. Mais Pierre a un peu mûri et ici, il ne fait pas de reproches. Il ne comprend pas ce que dit Jésus, ce «mangez ma Chair, buvez mon Sang»: il ne comprend pas. Mais il fait confiance au Maître. Il lui fait confiance. Et il fait cette deuxième confession : «Mais à qui irions-nous, Tu as les paroles de vie éternelle».

Cela nous aide tous à traverser la crise. Dans mon pays, il y a un dicton qui dit :
"Quand tu montes à cheval et que tu dois traverser une rivière, s'il te plaît, ne change pas de cheval au milieu de la rivière".
En temps de crise, être très ferme dans la foi. Ceux qui sont partis, ils ont changé de chevaux, ils ont cherché un autre maître qui n'était pas si rude, comme ils lui disaient. Dans les moments de crise, il y a de la persévérance, le silence; demeurer là où nous sommes, toujours. Ce n'est pas le moment de faire des changements. C'est le moment de la fidélité, de la fidélité à Dieu, de la fidélité aux choses que nous avons prises auparavant; c'est aussi le moment de la conversion parce que cette fidélité nous inspirera à faire quelques changements pour le bien, à ne pas nous éloigner du bien. »  
pape François, photo prise un jour d'avril 2020...

2304

    Fènelon (1651-1715)
    (Lettre CXVI)
« Il faut se faire taire très souvent pour être en état d’écouter le maître intérieur qui enseigne toute vérité. Quand nous n’entendons pas cette voix intime et délicate de l’Esprit, qui est l’âme de notre âme, c’est une marque que nous ne nous taisons point pour L’écouter. Sa voix n’est point quelque chose d’étranger : Dieu est dans notre âme comme notre âme dans notre corps ; c’est quelque chose que nous ne distinguons plus de nous, mais quelque chose qui nous mène, qui nous retient, et qui interrompt toutes nos activités. Le silence que nous lui devons pour L’écouter n’est qu’une simple fidélité à n’agir que par la dépendance de Lui, et à cesser d’agir des qu’il nous faut sentir que cette dépendance commence à s’altérer. » 
Portrait de Fénelon par Joseph Vivien (xviiie siècle).

2291

    Saint Josémaria Escriva (1902-1975)
     (Quand le Christ passe, 64)
"Dieu n’est pas scandalisé par les hommes. Dieu n’est pas las de nos infidélités. Notre Père du Ciel pardonne n’importe quelle offense lorsque son fils revient vers Lui, qu’il se repent et lui demande pardon. Notre Seigneur est tellement Père qu’Il emboîte le pas sur nos désirs d’être pardonnés et prend les devants en nous ouvrant les bras avec sa grâce.
Sachez que je n’invente rien. Rappelez-vous cette parabole dont le Fils de Dieu s’est servi pour nous faire comprendre l’amour du Père qui est aux Cieux: la parabole de l’enfant prodigue .
Comme il était encore loin, son père l’aperçut et fut touché de compassion; il courut se jeter à son cou et l’embrassa longuement Ce sont là les termes du Livre Saint: il l’embrassa longuement, il le dévorait de baisers. Peut-on employer langage plus humain? Y a-t-il manière plus expressive de décrire l’amour paternel de Dieu pour les hommes?
Devant un Dieu qui accourt vers nous, nous ne saurions nous taire, mais lui dire. avec saint Paul: Abba, Pater!; Père, mon Père! Car, tout Créateur de l’Univers qu’Il se passe de nos formules tonitruantes, de notre reconnaissance de sa seigneurie.
Il tient à ce que nous l’appelions Père, à ce que nous savourions ce terme qui comble notre âme de joie."

2281

    Charles Gay (1815-1892)
     (124e élévation)
"Chaque bonne action que fait une personne baptisée, c'est-à-dire un membre du Christ, Dieu la pense, Dieu la veut, Dieu la dit dans cette éternité radieuse et sereine où Il énonce le Christ, ce qui est l'engendrer. De sorte que cette action, pour vile, petite et insignifiante qu'elle soit par elle-même, est néanmoins une vraie parole de Dieu. Telle est la naissance humaine d'une parole divine : Dieu est le Père de ce Verbe incarné, l'âme fidèle en est la mère, et c'est en vue de cette maternité que Dieu "l'a épousée dans la foi". Notre âme est un vrai Nazareth où le Mystère sacré de la venue de Dieu sur la terre se reproduit à chaque instant." 

2228

    Père François Boëdec, s.j
      (Le temps de Dieu)
"Le temps de Dieu n’est pas celui des lassitudes. Il n’est pas non plus celui des « âmes habituées » que dénonçait Charles Péguy. C’est plutôt celui qui sait faire jouer ensemble le long cours des fidélités du quotidien, des enfouissements et des mûrissements, avec l’irruption de la nouveauté – parfois surprenante – celle d’une rencontre et d’une parole qui font passer d’une étape à une autre.

Le temps de Dieu se conjugue au présent, se méfiant des retours sur images d’un passé parfois obsédant, regretté ou culpabilisateur… sur lequel le diable joue sa plus belle mélodie.

Le temps de Dieu est ici et maintenant. Dans cet accueil de l’instant, dans ce qu’on y met comme vérité de nous-mêmes, comme consentement au réel, comme seul lieu véritable de l’Espérance. C’est ici et maintenant qu’il nous parle et nous accompagne. Laissant aux impatients et aux inquiets la course dans un avenir imaginaire et fantasmé.

Le temps de Dieu est celui des possibles qui refuse que les choses soient écrites à l’avance et ne craint pas le bouleversement des habitudes.

Le temps de Dieu supporte tous nos états. Nos peurs, nos hésitations, nos fragilités, nos fatigues, nos emportements, nos désirs, nos projets et nos deuils…. Il se met au diapason de nos rythmes, la lenteur des petits pas comme la fougue de certains empressements, pour encourager les uns et ajuster les autres.

Le temps de Dieu précède autant qu’il accompagne. Il ferme la marche autant qu’il la suscite, accueillant la vérité du passé et préparant l’avenir."

2186

    Saint François de Sales 
      (Lettre à Mme de la Fléchère 1608)
 « Soyez fidèle à bien servir votre maître, mais gardez en son service la liberté filiale et amoureuse, sans donner des amertumes à votre cœur. » 

2182

    Saint François de Sales 
      (Lettre à Mme de Soulfour 1603 n°181)
« Il est bon de désirer beaucoup, mais il faut mettre ordre aux désirs, et les faire sortir en effets, chacun selon sa saison et votre pouvoir. Dieu désire plus que nous la fidélité aux petites choses qu’Il met en notre pouvoir que l’ardeur aux grandes qui ne dépendent pas de nous. » 

2025

      Marthe Robin (1902-1981)
(Journal - Conseils pour avancer dans la voie de la perfection)

13. Trouver du dégoût dans l’oraison et la négliger, c’est armer contre nous "l’esprit" infernal et l’armer des armes mêmes avec lesquelles nous devrions nous défendre de lui. Pour l’oraison, le Seigneur veut des âmes bien dociles et bien fidèles et bien souples, ne se confiant nullement, aucunement en elles-mêmes. Veillons et prions pour ne pas passer de la sécheresse à la tiédeur.
Marthe Robin - Conseils pour avancer dans la voie de la perfection

1992

      Mary Steel Stevenson
            ("Footprints in the sand" de Mary Steel Stevenson (née Kelly) ; paru dans le livre"des pas sur le sable" d'Ademar de Borros)

Des pas sur le sable

Une nuit, j’ai eu un songe.
J’ai rêvé que je marchais le long d’une plage, en compagnie du Seigneur.
Dans le ciel apparaissaient, les unes après les autres, toutes les scènes de ma vie.
J’ai regardé en arrière et j’ai vu qu’à chaque période de ma vie,
il y avait deux paires de traces sur le sable:
L’une était la mienne, l’autre était celle du Seigneur.
Ainsi nous continuions à marcher,
jusqu’à ce que tous les jours de ma vie aient défilé devant moi.
Alors je me suis arrêté et j’ai regardé en arrière.
J’ai remarqué qu’en certains endroits,
il n’y avait qu’une seule paire d’empreintes,
et cela correspondait exactement avec les jours les plus difficiles de ma vie,
les jours de plus grande angoisse,
de plus grande peur et aussi de plus grande douleur.
Je l’ai donc interrogé :
" Seigneur… tu m’as dit que tu étais avec moi tous les jours de ma vie
et j’ai accepté de vivre avec Toi.
Mais j’ai remarqué que dans les pires moments de ma vie,
il n’y avait qu’une seule trace de pas.
Je ne peux pas comprendre
que tu m’aies laissé seul aux moments où j’avais le plus besoin de Toi. "
Et le Seigneur répondit :
" Mon fils, tu m’es tellement précieux ! Je t’aime !
Je ne t’aurais jamais abandonné, pas même une seule minute !
Les jours où tu n’as vu qu’une seule trace de pas sur le sable,
ces jours d’épreuves et de souffrances, eh bien: c’était moi qui te portais. "

1888

     Jean-Nicolas Grou (1731-1903)
(Manuel des âmes intérieures)
devenir saint : Le premier moyen, qui paraît le plus aisé, et qui est le plus difficile, est de le vouloir ; mais d'une volonté sincère, entière, efficace et constante. Qu'elle est rare cette bonne volonté ! On se flatte de vouloir, et dans le fait on ne veut pas. Ce sont des désirs, des velléités, des souhaits : mais ce n'est pas une volonté forte et déterminée. Demandons à Dieu cette bonne volonté ; demandons-la tous les jours, et méritons, par notre fidélité d'aujourd'hui de l'obtenir pour le jour suivant."

1783

     saint Bernard (1090-1153)
(Sermon pour le Dimanche dans l'Octave de l'Assomption)
""Il nous faut un médiateur, pour arriver au Médiateur, et je n'en vois pas de plus utile que Marie. Nous avons eu une cruelle médiatrice dans Eve, par qui l'antique serpent a fait pénétrer jusqu'à l'homme même son virus empesté, mais Marie est fidèle, et est venue verser l'antidote du salut à l'homme et à la femme en même temps. L'une a prêté son concours à une oeuvre de séduction, l'autre a donné le sien à une oeuvre de réparation ; l'une suggéra à l'homme une pensée de prévarication, et l'autre lui apporta la rédemption. Pourquoi la faiblesse lui apporta la rédemption. Pourquoi la faiblesse humaine craindrait-elle de s'approcher de Marie ?" 

1777

     pape François 
(Angélus du 15 décembre 2013)
la fidélité de Dieu
La joie chrétienne, comme l'espérance, a son fondement dans la fidélité de Dieu, dans la certitude qu'Il tient toujours ses promesses. le prophète Isaïe exhorte ceux qui ont perdu leur chemin et le courage de croire en la fidélité du Seigneur, car le salut ne tardera pas à faire irruption dans leur vie. Ceux qui ont rencontré Jésus sur leur chemin connaissent dans leur coeur une sérénité et une joie dont rien ni personne ne pourra les priver. Notre joie est Jésus-Christ, son amour fidèle et inépuisable ! Ainsi, quand un chrétien devient triste, c'est qu'il s'est éloigné de Jésus. Mais il ne faut pas le laisser seul alors ! Nous devons prier pour lui, et lui faire ressentir la chaleur de la communauté."

1774

     pape François 
(Lumen Fidei n°58 - Femmes pèlerines)
"En Marie, fille de Sion, s'accomplit la longue histoire de la foi de l'Ancien Testament, à travers le récit de la vie de nombreuses femmes fidèles, à commencer par Sarah. Des femmes qui, à côté des patriarches, étaient le lieu où la promesse de Dieu s'accomplissaient, et où la vie nouvelle s'épanouissait. A la plénitude des temps, la parole de Dieu s'est adressée à Marie, qui l'a accueillie, avec tout son être, dans son coeur, pour qu'elle prenne chair en elle et naisse comme la lumière pour les hommes. Saint Justin martyr, dans son Dialogue avec Tryphon, emploie cette belle expression par laquelle il dit que Marie, en acceptant le message de l'Ange, a conçu "foi et joie". En effet, en la mère de Jésus, la foi s'est montrée riche en fruits, et quand notre vie spirituelle porte ses fruits, nous sommes emplis de joie. C'est le signe le plus clair de la grandeur de la foi. Dans sa vie, Marie a accomplit le pèlerinage de la foi en suivant son Fils. Ainsi, en Marie, l'engagement sur le chemin de foi de l'Ancien Testament s'accomplit en suivant Jésus et en se laissant transformer par Lui, en entrant dans le regard même du Fils de Dieu incarné."

1772

     pape François 
(Homélie du 24 décembre 2013)
"Marcher. Ce verbe fais penser au cours de l'histoire, à ce long chemin qu'est l'histoire du salut, et qui commence avec Abraham, notre père dans la foi, que le Seigneur appela un jour à partir, à quitter son pays pour aller vers la terre qu'il lui avait indiquée. Dès lors, notre identité de croyant est celle de pèlerins qui marchent vers la Terre promise. Cette histoire est toujours accompagnée par le Seigneur ! Il reste fidèle à son pacte et à ses promesses. Parce qu'Il est fidèle, "et la lumière brille à travers Lui, la nuit ne l'a pas saisi." (Jn 1, 5) En revanche, le peuple alterne les moments de lumière et de ténèbres, de fidélité et d'infidélité, d’obéissance et de rébellion ; des moments où il est pèlerin et des moments où il est errant. De même, dans notre histoire personnelle, nous alternons les moments lumineux et les obscurs, de lumière et d'ombre. Quand nous aimons Dieu et ses frères, nous marchons dans la lumière ; mais quand notre coeur se ferme, quand nous nous laissons dominer par l'orgueil, le mensonge et la recherche de l'intérêt personnel, les ténèbres descendent nous envahir. "Celui qui déteste son frère et dans le noir, écrit l'apôtre Jean, il marche dans le noir sans savoir où il va, les yeux aveuglés de noir" (1 Jn 2, 11). Un peuple en marche, mais un peuple pèlerin qui ne veut pas être un peuple errant. "



1752

     Saint Alphonse de Liguori (1696-1787)
       (Le grand Moyen de la prière)
"Gardons indéfectible la confession de l'espérance, car celui qui a promis est fidèle." (Hb 10,23) Aussi certain que Dieu est fidèle en ses promesses, aussi certaine doit être notre confiance qu'Il nous exaucera. Peut-être nous trouverons-nous parfois dans un état d'aridité spirituelle ou serons-nous troublés par quelque faute, et ne ressentirons-nous pas dans la prière la confiance sensible que nous souhaiterions ? Efforçons-nous cependant de prier, parce que Dieu ne manquera pas de nous exaucer, et même d'autant mieux que nous prierons alors en nous défiant davantage de nous-mêmes et en nous appuyant uniquement sur la bonté et la fidélité de Dieu, qui a promis d'exaucer qui Le prie." 

1719

     Jean-Nicolas Grou (1731-1803)
        (l'intérieur de Marie)
"Ce qui a proprement sanctifié Marie n'est pas tant son privilège de l'Immaculée Conception, ni le degré éminent de grâce sanctifiante qui lui a tout de suite été communiqué, mais bien plus encore l'acte libre par lequel elle s'est dévouée à Dieu au premier instant de sa raison, sa persévérance irrévocable dans ce dévouement ne s'étant jamais reprise en la moindre chose, et son inviolable fidélité à toutes les grâces actuelles."

1670

     Saint François de Sales (1567-1622)
(Sermon du 2 février 1620)


" Il faut que nous nous accoutumions à rechercher l'accomplissement de notre perfection selon les voies ordinaires, en tranquillité de coeur, faisant tout ce que nous pouvons pour acquérir les vertus par la fidélité que nous aurons à les pratiquer, un chacun selon notre condition et vocation ; et demeurons en attente pour ce qui regarde de parvenir tôt ou tard au but de notre prétention, laissant cela à la divine Providence." 

1587

     Saint Jean Chrysostome
(L'initiation chrétienne aux premiers siècles de l'Église (janvier-février 1981) - V - Jean Chrysostome : l'eucharistie, ou le pain partagé)

« Respirez à la hauteur de votre dignité, mes bien-aimés ! On vous appelle fidèles, vivez la fidélité. Ne vous mêlez pas à la promiscuité de la foule des mauvais chrétiens. Écoutez ce que je vous dis : Soyez grain et non pas paille. Regardez les bons, suivez leur exemple. Qui se ressemble s'assemble ! »

1547

     Saint Jean-Paul II 
(Prière pour la France)
« Nous te présentons, ô Vierge très sainte, tes fils et tes filles de France. Garde l’Église sur cette terre dans la fidélité à l’Évangile […], dans l’unité de la foi et le dynamisme de l’espérance. Fais des baptisés de ce peuple des témoins courageux de la vérité et des bâtisseurs de paix. Mère admirable, étends ton manteau de tendresse sur les familles […], afin qu’elles connaissent le bonheur d’aimer et de transmettre la vie. Vierge fidèle, aide les jeunes à avancer dans la vie. Aide les jeunes, car ils sont l’espérance et la joie de l’Église et de leur pays. Aide les fils de l’Église en France à faire face aux difficultés de cette époque dans une loyale collaboration avec leurs compatriotes qui appartiennent à d’autres traditions religieuses ou à d’autres familles d’esprit. Toi qui as donné au monde le Christ sauveur, ouvre les cœurs à toute détresse, inspire à chacun les gestes de la solidarité et de l’accueil à l’égard des frères de nations plus démunies. »

Jésus disait à ses disciples : "Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai Aimés." (Jn 15, 12)