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    Saint François de Sales 
      (I.V.D. 3, XXXVIII)
« Quiconque vient louer votre beauté et votre grâce vous doit être suspect, car quiconque loue une marchandise qu’il ne peut acheter il est pour l’ordinaire grandement tenté de la dérober. » 

2026

      François Cheng
"Le visage est ce trésor unique que chacun offre au monde. C'est bien en terme d'offrande, ou d'ouverture, qu'il convient de parler du visage. Car le mystère et la beauté d'un visage, en fin de compte, ne peuvent être appréhendés et révélés que par d'autres regards, ou par une lumière autre."


1955

      François Cheng (Écrivain et philosophe)
(Émission « La Grande Librairie » France 5- 29 janvier 2020)

« La beauté n’est pas un simple ornement. La beauté c’est un signe par lequel la création nous signifie que la vie a du sens. Avec la présence de la beauté, tout d’un coup, on a compris que l’univers vivant n’est pas une énorme entité neutre et indifférenciée mais qu’il est mû par une intentionnalité ».
« En montant sur la Croix, le Christ a affronté le mal radical au nom de l’amour absolu. Un acte qui tient les deux bouts. L’absolu de son amour ne peut être prouvé que par cet affrontement au mal absolu ». Un amour absolu dont chacun peut trouver des fragments dans son quotidien. « Par-delà les paroles, un regard, un sourire suffisent pour que chacun s’ouvre au mystère de l’autre, au mystère tout autre »,

1488

   Saint Jean Chrysostome 
(Catéchèse VI, 25).
« Si vous demeurez sobres et vigilants, dit Jean Chrysostome, les fêtes se prolongent pour vous, toute la durée du temps. Conservez intact et immaculé votre vêtement nuptial. Votre Époux vous en aimera davantage, votre beauté et votre éclat grandiront de jour en jour et la grâce augmentera au rythme de vos efforts » 

1423

  de François Darbois - (Oraison sur la vie, naissance de Dieu en l’homme chez Zundel - 1997, p 153)


Thérèse (de Lisieux) est une éveillée, une éveillée de la vie, à la vie, éveillée de la sagesse divine puisqu’elle plonge son regard dans le cœur de Dieu, en Jésus. Elle nous montre que tout est question de regard comme le souligne une autre femme, Simone Veil : « Une des vérités capitale du christianisme, aujourd’hui méconnue de tous, est que le regard est ce qui sauve.
C’est dans ce regard d’émerveillement et de tendresse que nous ressuscitons à chaque instant dans le cœur de Dieu et que Dieu naît dans notre cœur et dans celui de nos frères.»
“Soyez parfaits comme votre Père céleste est parfait, c’est-à-dire : devenez ce qu’est Dieu !“ Car “le Ciel on n’y entre pas, on le devient“ dans ce regard d’éternité qui nous donne de voir la beauté du monde dans la lumière de la beauté de Dieu. Nous sommes appelés à être ce qu’iI est : comme le Père n’est regard que pour le Fils, comme le Fils n’est regard que pour le Père, comme l’Esprit Saint qui n’est qu’une respiration d’amour à l’aspiration du Père et du Fils.

1412

   Saint Exupéry 

( Le petit prince)

« On ne voit bien qu'avec le cœur.
L'essentiel est invisible pour les yeux. »


La beauté ne se mesure pas par à ce que nous pouvons voir en un simple coup d’œil, car la vraie beauté est une attitude de coeur. Il n’existe pas de maquillage qui puisse embellir un cœur laid.
Un bel être intérieur se construit en aimant la vie et en oeuvrant jour après jour pour se débarrasser des sentiments négatifs qui empoisonnent notre existence... Il se construit en se laissant approcher par Celui qui nous aime et veut notre bonheur, en priant, en agrandissant ainsi son monde intérieur, en le rendant plus vaste, plus beau, plus fleuri.
Soyons doux, ne laissons pas la douleur et la peine nous endurcir. Ne laissons pas la douleur nous faire détester quelqu’un, ne laissons pas l’amertume nous contrôler. Cultivons avec Dieu notre jardin intérieur... , c'est ce qui fera notre beauté ; une beauté qui ne découvre pas au simple regard, qui ne peut pas être définie par des mots...ouvrir les yeux ne sufit pas... pour voir l'essentiel, il faut ouvrir SON COEUR.



1134

saint François de Sales

"Dieu t'a donné la raison pour que tu Le connaisses,
la mémoire pour tu te souviennes de Lui,
la volonté pour que tu L'aimes,
l'imagination pour que tu voies ses bienfaits,
des yeux pour que tu voies la beauté de ses oeuvres,
la langue pour que tu Le loues.

C'est pourquoi Il t'a donné aussi toutes tes autres facultés..."

410

Benoît XVI
Angelus, dimanche 17 juillet 2005 (Les Combes, Val d'Aoste)
Les vacances sont, en outre, des jours pendant lesquels on peut se consacrer plus longuement à la prière, à la lecture et à la méditation sur les significations profondes de la vie, dans le cadre serein de sa famille et de ses proches. Le temps des vacances offre des opportunités uniques de s'arrêter devant les spectacles suggestifs de la nature, merveilleux "livre" à la portée de tous, grands et petits. Au contact de la nature, la personne retrouve sa juste dimension, elle redécouvre qu'elle est une créature, petite mais dans le même temps unique, en mesure "d'accueillir Dieu" car intérieurement ouverte à l'infini. Poussée par la demande de sens, qui est pressante dans son cœur, celle-ci perçoit dans le monde environnant l'empreinte de la bonté, de la beauté et de la providence divine et elle s'ouvre presque naturellement à la louange et à la prière.

383

St Jean Chrysostome
Homélies sur l'évangile de St Matthieu, 47, 4
L'âme du pauvre, du volontairement pauvre, resplendit comme l'or, brille comme une perle, fleurit comme une rose. Voulez-vous contempler la beauté de cette âme ? Voulez-vous connaître la richesse de la pauvreté ? (...) Le pauvre n'a aucun trésor, mais il a le ciel. (...) Il se moque de la royauté de l'or et de toutes les autres choses de ce genre, comme si c'étaient des jouets de petits enfants. (...) Quel besoin en a celui qui possède le Christ ?

269

St Ephrem (diacre)
Diatessaron, I, 18-19
Qui donc est capable de comprendre toute la richesse d'une seule de tes paroles, Seigneur ? Ce que nous en comprenons est bien moindre que ce que nous en laissons, comme des gens assoiffés qui boivent à une source. Les perspectives de ta parole sont nombreuses, comme sont nombreuses les orientations de ceux qui l'étudient. Le Seigneur a coloré sa parole de multiples beautés, pour que chacun de ceux qui la scrutent puisse contempler ce qu'il aime. Et dans sa parole il a caché tous les trésors, pour que chacun de nous trouve une richesse dans ce qu'il médite.
La parole de Dieu est un arbre de vie qui, de tous côtés, te présente des fruits bénis ; elle est comme ce rocher qui s'est ouvert dans le désert pour offrir à tous les hommes une boisson spirituelle. Selon l'Apôtre, ils ont mangé un aliment spirituel, ils ont bu à une source spirituelle.
Celui qui obtient en partage une de ces richesses ne doit pas croire qu'il y a seulement, dans la parole de Dieu, ce qu'il y trouve. Il doit comprendre au contraire qu'il a été capable d'y découvrir une seule chose parmi bien d'autres. Enrichi par la parole, il ne doit pas croire que celle-ci est appauvrie ; incapable de l'épuiser, qu'il rende grâce pour sa richesse. Réjouis-toi parce que tu es rassasié, mais ne t'attriste pas de ce qui te dépasse. Celui qui a soif se réjouit de boire, mais il ne s'attriste pas de ne pouvoir épuiser la source. Que la source apaise ta soif, sans que ta soif épuise la source. Si ta soif est étanchée sans que la source soit tarie, tu pourras y boire à nouveau, chaque fois que tu auras soif. Si au contraire, en te rassasiant, tu épuisais la source, ta victoire deviendrait ton malheur.
Rends grâce pour ce que tu as reçu et ne regrette pas ce qui demeure inutilisé. Ce que tu as pris et emporté est ta part ; mais ce qui reste est aussi ton héritage. Ce que tu n'as pas pu recevoir aussitôt, à cause de ta faiblesse, tu le recevras une autre fois, si tu persévères. N'aie donc pas la mauvaise pensée de vouloir prendre d'un seul trait ce qui ne peut pas être pris en une seule fois ; et ne renonce pas, par négligence, à ce que tu es capable d'absorber peu à peu.

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St Basile de Césarée
Grandes règles monastiques, quest. 2, rép. 1
En recevant de Dieu l'ordre de l'aimer, nous avons reçu, dès notre origine, l'aptitude à l'aimer. Cela ne nous est pas démontré par des arguments extérieurs. Chacun peut l'apprendre par lui-même et en lui-même. Nous désirons par nature ce qui est bon et beau, bien que la même chose n'apparaisse pas bonne et belle à celui-ci et à celui-là. Nous n'avons pas besoin qu'on nous apprenne à aimer nos parents et nos proches, et c'est spontanément que nous accordons notre bienveillance à ceux qui nous font du bien.
Or, je vous le demande, y a-t-il rien de plus admirable que la beauté
divine ? Que peut-on imaginer de plus digne de plaire et de plus agréable que la magnificence de Dieu ? Y a-t-il un désir fort et violent comme celui que Dieu inspire à l'âme purifiée de tout vice et qui s'écrie sincèrement : Je suis blessée d'amour ? Les splendeurs de la beauté divine sont inexprimables et indescriptibles.

239

St Athanase
Traité contre les païens, 40
La vue de la création nous permet de découvrir le Créateur. Qui est-il, sinon le très saint, celui qui est au-dessus de toutes les réalités créées ? Pareil à un excellent pilote, par sa propre Sagesse et sa propre Parole, le Christ notre Seigneur et notre Sauveur, Dieu gouverne et ordonne l'univers pour notre salut, en faisant ce qui lui semble bon. Et ce monde est très bon en effet, tel qu'il a été fait et tel que nous le voyons, parce que Dieu le veut ainsi ; personne ne pourrait en douter. Car si la création se mouvait sans raison, si l'univers s'en allait n'importe comment, on pourrait bien mettre en doute ce que nous venons de dire. Mais puisqu'il a été créé avec raison, sagesse et science, puisqu'il est si beau, celui qui l'a créé et lui a donné cette beauté ne peut être que le Verbe de Dieu.

214

Bible - Ancien Testament
Sagesse 13, 1-9
Insensés par nature tous les hommes qui ont ignoré Dieu, et qui n'ont pas su, par les biens visibles, voir Celui qui est, ni, par la considération de ses œuvres, reconnaître l'Ouvrier.
Mais ils ont regardé le feu, le vent, l'air mobile, le cercle des étoiles, l'eau impétueuse, les flambeaux du ciel, comme des dieux gouvernant l'univers.
Si, charmés de leur beauté, ils ont pris ces créatures pour des dieux, qu'ils sachent combien le Maître l'emporte sur elles ; car c'est l'Auteur même de la beauté qui les a faites.
Et s'ils en admiraient la puissance et les effets, qu'ils en concluent combien est plus puissant celui qui les a faites.
Car la grandeur et la beauté des créatures font connaître par analogie Celui qui en est le créateur.
Ceux-ci pourtant encourent un moindre reproche ; car ils s'égarent peut-être en cherchant Dieu et en voulant le trouver.
Occupés de ses œuvres, ils en font l'objet de leurs recherches, et s'en rapportent à l'apparence, tant ce qu'ils voient est beau !
D'autre part, ils ne sont pas non plus excusables ; car, s'ils ont acquis assez de science pour arriver à connaître le monde, comment n'en ont-ils pas connu plus facilement le Maître ?

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St Augustin
Confessions, 10, 27
Je t’ai aimée bien tard, Beauté si ancienne et si nouvelle, je t’ai aimée bien tard ! Mais voilà : tu étais au-dedans de moi quand j’étais au-dehors, et c’est dehors que je te cherchais ; dans ma laideur, je me précipitais sur la grâce de tes créatures. Tu étais avec moi, et je n’étais pas avec toi. Elles me retenaient loin de toi, ces choses qui n’existeraient pas, si elles n’existaient en toi. Tu m’as appelé, tu as crié, tu as vaincu ma surdité ; tu as brillé, tu as resplendi, et tu as dissipé mon aveuglement ; tu as répandu ton parfum, je l’ai respiré et je soupire maintenant pour toi ; je t’ai goûtée, et j’ai faim et soif de toi ; tu m’as touché et je me suis enflammé pour obtenir la paix qui est en toi.

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Ste Teresa de Calcutta
Intervention, §7-8
lors de la IVe Conférence mondiale de l'ONU sur la Femme (Pékin, 30.VIII-15.IX 1995)
D'autre part, lorsque les familles sont fortes et unies, les enfants sont en mesure de voir dans l'amour de leur père et mère l'amour très spécial que Dieu a pour eux et peuvent ainsi arriver à faire de leur pays un endroit où l'on aime et où l'on prie. L'enfant est le plus beau don que Dieu puisse faire à la famille : il a besoin de son père aussi bien que de sa mère parce que l'un et l'autre manifestent l'amour de Dieu d'une façon spéciale. Une famille qui prie ensemble reste ensemble, et s'ils restent ensemble, ils s'aimeront les uns les autres comme Dieu les a aimés, tous et chacun d'entre eux. Et les œuvres de l'amour sont toujours des œuvres de paix.
Aussi, gardons tous en nos cœurs la joie d'aimer et partageons cette joie avec tous ceux qui se trouvent sur notre chemin. La prière que j'adresse à Dieu est que tous les délégués, et que toutes les femmes que la Conférence de Pékin cherche à aider, que toutes et chacune d'entre elles, dis-je, en arrivent à faire leur l'humilité et la pureté de Marie afin de pouvoir vivre en paix et en amour les uns avec les autres, faisant ainsi de nos familles et de notre monde un lieu de beauté pour Dieu. Ce qu'il faut, c'est la prière.
Tout pour la gloire de Dieu et le bien des âmes. Que Dieu vous bénisse tous !

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Bse Mère Teresa de Calcutta
Intervention, §5
lors de la IVe Conférence mondiale de l'ONU sur la Femme (Pékin, 30.VIII-15.IX 1995)

Dieu nous a dit : "Aimez votre prochain comme vous-mêmes." De sorte que je dois d'abord m'aimer moi-même, comme il se doit, et ensuite aimer mon prochain de la même manière. Mais comment puis-je m'aimer moi-même si je ne m'accepte pas telle que Dieu m'a, faite ? Ceux qui nient la beauté des différences entre l'homme et la femme ne s'acceptent pas tels que Dieu les a faits, et ne peuvent donc pas aimer leur prochain. Ils ne peuvent apporter avec eux que division et malheur et détruire la paix du monde. Par exemple, comme je l'ai souvent affirmé, l'avortement est ce qui détruit le plus la paix du monde aujourd'hui. Et ceux qui veulent absolument que la femme et l'homme soient la même chose sont tous en faveur de l'avortement.

086

Bse Mère Teresa de Calcutta
Intervention, lors de la IVe Conférence mondiale de l'ONU sur la Femme 
(Pékin, 30.VIII-15.IX 1995)
Je prie Dieu qu'il fasse descendre sa bénédiction sur tous ceux et celles qui prennent part à la IVe Conférence mondiale sur la Femme, qui se tient à Pékin à l'heure actuelle. J'espère que cette conférence aidera tous et chacun à comprendre la place très spéciale que la Femme occupe dans le plan de Dieu, et nous amènera à adhérer pleinement à ce plan et à le mettre en œuvre.
Je dois dire que je n'arrive pas à comprendre pourquoi certains affirment que l'homme et la femme sont exactement les mêmes et qu'ils en viennent même à nier la beauté des différences qui existent entre l'homme et la femme. Les dons de Dieu sont tous également bons mais ils ne sont pas nécessairement les mêmes. Je réponds souvent à ceux qui me disent qu'ils aimeraient pouvoir servir les pauvres comme je le fais : "Ce que je fais, vous n'êtes pas en position de le faire. Ce que vous faites, je ne suis pas en position de le faire. Mais vous et moi ensemble, nous pouvons faire quelque chose de beau pour Dieu."
Il en va ainsi des différences entre l'homme et la femme. Dieu a créé chacun de nous, chaque être humain, en vue d'une plus grande chose : aimer et être aimé. Pourquoi Dieu nous a-t-il créés, les uns hommes, les autres femmes ? Parce que l'amour d'une femme est l'un des visages de l'amour de Dieu. L'amour d'un homme est un autre visage de ce même amour. L'homme et la femme sont tous les deux créés pour aimer, mais chacun d'une manière différente ; l'homme et la femme se complètent l'un l'autre, et tous les deux ensemble manifestent l'amour de Dieu beaucoup mieux qu'ils ne le pourraient chacun séparément.

084

Liturgie-antiennes
Ave Regina cœlorum
Salut ! Reine des cieux !
Salut ! Souveraine des anges !
Salut ! Racine ! Salut ! Porte
Par laquelle la lumière s'est levée sur le monde !
Réjouissez-vous, Vierge glorieuse,
Belle entre toutes,
Salut ! ô pleine de beauté,
Priez aussi le Christ pour nous.
V/. Rendez-moi digne de vous louer, Vierge sainte.
R/. Donnez-moi la force contre vos ennemis.
Prions. - Dieu de miséricorde, portez secours à notre faiblesse ; faites qu'en évoquant la mémoire de la sainte Mère de Dieu, nous puissions compter sur l'efficacité de son intercession pour nous relever de nos péchés.
Par le même Christ notre Seigneur.
R/. Ainsi soit-il.
Ave Regina cœlorum,
Ave Domina Angelorum :
Salve radix, salve porta,
Ex qua mundo lux est orta :
Gaude Virgo gloriosa,
Super omnes speciosa :
Vale, o valde decora,
Et pro nobis Christum exora.
V/. Dignare me laudare te, Virgo sacrata.
R/. Da mihi virtutem contra hostes tuos.
Oremus. - Concede, misericors Deus, fragilitati nostræ præsidium : ut, qui sanctæ Dei Genitricis memoriam agimus ; intercessionis ejus auxilio, a nostris iniquitatibus resurgamus.
Per eundem Christum Dominum nostrum.
R/. Amen.


Cette antienne remonte au moins au XIIème siècle (puisqu'on la trouve dans le livre de saint Alban, qui est daté de ce siècle). On a avancé les noms de Saint Bernard ou encore d'Herman Contract († 1054) comme auteur, mais sans certitude.

532

de Mgr Jean-Pierre Ravotti *
Prière à sainte Marie Madeleine
« Toi qui fut guérie et sauvée par Jésus, rends notre âme resplendissante de la beauté même de Dieu.
Toi, disciple fidèle et femme à l’écoute, enracine en nos cœurs la Parole de Vie, donne-nous d’écouter, de garder et de mettre en pratique l’Evangile du Christ, notre Maître et Seigneur.
Toi qui as connu les larmes et répandu le parfum de l’Amour, console tous ceux qui souffrent par le baume versé de notre surnaturelle Charité.
Toi, persévérante jusqu’à la Croix et au tombeau, accorde-nous la grâce de l’Espérance dans les épreuves, de la force dans le combat, de la Foi en la Vie Éternelle à l’heure de la mort.
Toi qui, la première, as mérité de voir Jésus ressuscité et a reçu la mission de l’annoncer aux disciples, fais de nous des témoins crédibles et courageux du Christ vainqueur de la mort et éternellement glorieux.
Par Jésus, le Christ, notre Seigneur. Amen. »
* Monseigneur Jean-Pierre Ravotti, Chanoine honoraire, est un Prêtre italien et a été responsable de l’aumônerie militaire à Turin. Il a passé son enfance à Saint-Maximin, près du tombeau vénéré de Marie-Madeleine, d’où son attachement à la Sainte Patronne de la Provence : Marie Madeleine.
Il exerce souvent, dans le diocèse de Fréjus-Toulon un ministère de prédication à la gloire de la plus illustre des femmes évangéliques après la Très Sainte Vierge Marie : Sainte Marie Madeleine.
Prions : « Ô Père très clément, répands largement sur nous tes dons, afin que par l’intercession de Sainte Marie-Madeleine, qui en aimant notre Seigneur Jésus-Christ par-dessus tout, a obtenu le pardon de ses péchés, nous obtenions nous aussi de ta miséricorde l'éternelle béatitude. Par Jésus, le Christ, notre Seigneur. Amen. »
Intercède et supplie sans cesse pour nous, auprès de Jésus, ô Sainte Marie-Madeleine !


Jésus disait à ses disciples : "Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai Aimés." (Jn 15, 12)