1831

     pape François 
(Angélus, 1er janvier 2020)
"Jésus n’a pas enlevé le mal du monde mais l’a vaincu à la racine. Son salut n’est pas magique, mais c’est un salut « patient », c’est-à-dire qu’il implique la patience de l’amour, qui prend en charge l’iniquité et lui enlève son pouvoir. La patience de l’amour: l’amour nous rend patients. Si souvent, nous perdons patience; moi aussi, et je vous demande de m’excuser pour le mauvais exemple d’hier. C’est pourquoi, en contemplant la crèche, nous voyons, avec les yeux de la foi, le monde renouvelé, libéré de la domination du mal et placé sous la seigneurie royale du Christ, l’Enfant couché dans la crèche." 

Aucun commentaire:


Jésus disait à ses disciples : "Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai Aimés." (Jn 15, 12)