« Cette chère petite maman a coutume de m’accorder avec beaucoup d’attention ses soins maternels. Particulièrement ce mois-ci. Ses attentions envers moi confinent au raffinement. Pauvre petite maman, comme elle m’aime ! Je l’ai constaté encore une fois au début de ce beau mois [de mai]. Avec quelle attention elle m’a accompagné à l’autel ! Il me semblait qu’elle n’avait personne d’autre à penser qu’à moi seul, me remplissant le cœur de saintes affections. Je sentais dans la région du cœur un feu mystérieux, que je n’ai pu comprendre. J’éprouvais le besoin d’y appliquer de la glace pour éteindre ce feu qui me consume ».
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