981
Benoît XVI,Spe Salvi 37 et 38 -
dialogue avec les prêtres - 17 février 2007
la souffrance est le lieu d’une croissance humaine et spirituelle.
« Ce n’est pas le fait d’esquiver la souffrance, de fuir devant la douleur, qui guérit l’homme, mais la capacité d’accepter les tribulations et de mûrir par elles, d’y trouver un sens par l’union au Christ, qui a souffert avec un amour infini. » (n° 37 spe Salvi)
Benoît XVI retient trois domaines où il est capital de ne pas fuir la souffrance sous peine de rester immatures à un niveau humain et spirituel. La souffrance est un lieu d’exercice et d’apprentissage de l’espérance. Benoît XVI énonce une vérité que nous pourrions encadrer et sur laquelle nous pourrions longuement méditer : « La mesure de l’humanité se détermine essentiellement dans son rapport à la souffrance et à celui qui souffre. Cela vaut pour chacun comme pour la société. » (n° 38 Spe Salvi)
« En reconnaissant ce devoir de travailler contre les souffrances causées par nous-mêmes, nous devons aussi reconnaître et comprendre que la souffrance est une part essentielle de notre maturité humaine. Je pense à la parabole du Seigneur sur le grain de blé tombé en terre, qui ne peut que de cette manière, en mourant, porter du fruit, et le fait de tomber en terre et de mourir ne représente pas simplement un moment, mais il s’agit véritablement du processus d’une vie. » (Benoît XVI, 17 février 2007, dialogue avec les prêtres)
Benoît XVI retient trois domaines où il est capital de ne pas fuir la souffrance sous peine de rester immatures à un niveau humain et spirituel. La souffrance est un lieu d’exercice et d’apprentissage de l’espérance. Benoît XVI énonce une vérité que nous pourrions encadrer et sur laquelle nous pourrions longuement méditer : « La mesure de l’humanité se détermine essentiellement dans son rapport à la souffrance et à celui qui souffre. Cela vaut pour chacun comme pour la société. » (n° 38 Spe Salvi)
« En reconnaissant ce devoir de travailler contre les souffrances causées par nous-mêmes, nous devons aussi reconnaître et comprendre que la souffrance est une part essentielle de notre maturité humaine. Je pense à la parabole du Seigneur sur le grain de blé tombé en terre, qui ne peut que de cette manière, en mourant, porter du fruit, et le fait de tomber en terre et de mourir ne représente pas simplement un moment, mais il s’agit véritablement du processus d’une vie. » (Benoît XVI, 17 février 2007, dialogue avec les prêtres)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire