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Marthe Robin
(« Journal », 13 décembre 1930)
« Ô Vierge pleine de bonté, douce compagne de ceux qui pleurent, qu’avec vous je sois un peu la consolatrice des affligés.
Une parole de bonté est une caresse à l’âme. Je suis bien pauvre, mais le trésor de ma Mère est un trésor incomparable. Je lui tends la main comme une petite mendiante au riche compatissant, et la supplie, au nom de Jésus, de me donner quelque chose. »
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