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Marthe Robin(« Journal », 2 février 1930)
𝘓𝘖𝘜𝘈𝘕𝘎𝘌 À 𝘓𝘈 𝘝𝘐𝘌𝘙𝘎𝘌 𝘔𝘈𝘙𝘐𝘌
« Prier Marie, l’aimer, l’imiter en silence
Vivre auprès d’elle, appuyer sur son Cœur,
Mettre en ses mains bénies, ma filiale confiance
C’est là ma paix, ma joie et mon honneur.
Ô Vierge Sainte, ô blanche Souveraine,
Mon âme aimante, en vous s’épanche à flots.
J’irai au ciel, vers vous, Mère que j’aime
Ah ! que ne puis-je y aller aussitôt !
Vivre auprès d’elle, appuyer sur son Cœur,
Mettre en ses mains bénies, ma filiale confiance
C’est là ma paix, ma joie et mon honneur.
Ô Vierge Sainte, ô blanche Souveraine,
Mon âme aimante, en vous s’épanche à flots.
J’irai au ciel, vers vous, Mère que j’aime
Ah ! que ne puis-je y aller aussitôt !
Quand je contemple votre éclatant visage,
Vos traits si doux, vos regards maternels,
Ah ! je voudrais dépeindre mon extase.
Divine aurore, ô beau lys immortel,
Reine des cieux, si bonne et la plus pure,
Les séraphins, pour vous, brûlent d’amour.
J’irai au ciel vous chérir sans mesure
Ah, je voudrais y aller en ce jour !
Vos traits si doux, vos regards maternels,
Ah ! je voudrais dépeindre mon extase.
Divine aurore, ô beau lys immortel,
Reine des cieux, si bonne et la plus pure,
Les séraphins, pour vous, brûlent d’amour.
J’irai au ciel vous chérir sans mesure
Ah, je voudrais y aller en ce jour !
Vos suaves tendresses, ô divine Marie,
Me font, dès cet exil, respirer l’air du ciel.
Ces sublimes instants comblent mon âme ravie,
Quand pourrai-je les vivre au séjour éternel ?
Sous vos douces caresses, tout mon être palpite...
Rose mystique, Mère admirable, ô pur miroir,
J’irai au ciel vous aimer sans limite.
Ah ! que ne puis-je y aller dès ce soir ! »
Me font, dès cet exil, respirer l’air du ciel.
Ces sublimes instants comblent mon âme ravie,
Quand pourrai-je les vivre au séjour éternel ?
Sous vos douces caresses, tout mon être palpite...
Rose mystique, Mère admirable, ô pur miroir,
J’irai au ciel vous aimer sans limite.
Ah ! que ne puis-je y aller dès ce soir ! »
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